• Intention

    «La Décroyance est la confluence de mon parcours depuis vingt ans : la recherche scientifique, la comédie et l’enseignement théâtralisé de l’Histoire.»


    Le spectacle analyse les mécanismes d’instrumentalisation appelés «religions». Comment, dans l’histoire de l’humanité, une élite a su exploiter l’irrationnel de l’homme pour exercer sans limite sa domination.


    «L’histoire de la constitution de la Bible est une histoire politique et il en est de même pour l’ensemble des textes fondateurs de nos religions


    Malgré ses propos déstabilisants, voire provocateurs, La Décroyance ne s’attaque jamais aux croyants.


    «Une fois cet éclairage apporté, chacun reste son propre arbitre : liberté de conscience (croire ou non aux fantômes, au Père Noël ou à un Dieu, voire plusieurs !), mais en connaissance de cause.»


    Sur scène, il y a un personnage triple : celui qui enseigne -parfois de manière théâtralisée voire cartoonesque-, le membre d’une famille et celui qui se confie et joue avec le public.


    «L’humour et la participativité ont toujours été pour moi des guides dans l’écriture de mes spectacles. C’est un spectacle à rire et à réfléchir, avec des moments ludiques, comme le jeu du Théo Quizz. Plus le sujet est dense, plus le ton doit être léger


    En définitive, La Décroyance est un plaidoyer pour l’honnêteté intellectuelle.


    «Ce qui m’inquiète, c’est que la discipline «Sciences Religieuses» reste très ambigüe. C’est un domaine scientifique sous haute surveillance, avec ses dogmes, ses prélats, ses censeurs et ses bannis. C’est aussi cela que j’ai envie de dénoncer dans la Décroyance.»


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